Seul un nombre limité de sites est retenu pour l’Essonne, tous les autres lieux prospectés étant alors repris sous le vocable « divers Essonne » :
Les étangs de Saclay, St Maurice Montcouronne et de Vert-le-Petit, les bassins de Saulx et de Trévoix, la base de loisirs d’Etampes, la vallée de la Juine, les marais de Misery et Fontenay-le-Vicomte, Ballancourt, Mennecy, les fosses de Vigneux-Montalbot et Saintry, les plans d’eau de Viry-Grigny, Courcouronnes et Draveil et la Seine de Ponthierry à Ablon.

NaturEssonne n’est pas la seule association à participer à ce comptage sur le département. Des adhérents du CORIF (Centre Ornithologique de la Région Ile de France), de la LPO (Ligue pour la Protection des Oiseaux), des gardes du Conseil départemental sur les zones humides qui lui appartiennent ainsi que ceux de l’ONCFS (Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage) sont aussi mobilisés. Les résultats retenus par le coordinateur régional de la LPO, Pierre Le Maréchal, sont la synthèse de toutes ces sources différentes. En général il conserve le nombre le plus élevé pour une espèce donnée.

Tous les oiseaux d’eau ne sont pas pris en compte au titre du Wetlands, seule une liste limitative est retenue : les Plongeons catmarins, arctiques et imbrins; les Grèbes castagneux, huppés, jougris, à cou noir et esclavons; le Grand Cormoran au dortoir; le Butor étoilé; le Bihoreau gris; les Aigrettes garzettes et Grandes; le Héron cendré; les Cygnes tuberculés, chanteurs et de Bewick; les Oies sauvages cendrées, rieuses et des moissons; les Bernaches du Canada, nonettes et cravants; le Tadorne de Belon sauvage; les Canards sauvages siffleurs, chipeaux, colverts, pilets et souchets; la Sarcelle d’hiver; la Nette rousse; les Fuligules milouins, morillons, nyrocas et milouinans; l’Eider à duvet; l’Harelde boréale; les Macreuses noires et brunes; le Garrot à œil d’or; les Harles huppés, bièvres et piettes, l’Erismature rousse et la Foulque macroule.

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